Historical records matching Alain "Canhiart" de Cornouaille, Comte de Cornouaille & Nantes
Immediate Family
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About Alain "Canhiart" de Cornouaille, Comte de Cornouaille & Nantes
Medilands (16 Nov 2021) Brittany Nobility: Cornouaille, Penthièvre Comtes de Cornouaille
ALAIN "Caignart" de Cornouaïlle, son of BENEDICT Comte de Cornouaïlle & his wife Guinodeon --- (-4 Jun 1058, bur Church of Notre-Dame, next to Saint-Corentin). [Note: Refers to being buring next to (en français) Corentin de Quimper -- (in English) Corentin de Quimper
Comte de Cornouaïlle.
A charter dated 1021 records that the bishop of Vannes restored rights to Redon abbey, witnessed by "…Alanus >Cornugallensis comes et Guethenocus vicecomes et Gozolinus eius filius…"[33].
"Benedictus episcopus atque comes" founded the monastery of Locmaria de Quimper, later confirmed by "Alanus comes filius Benedicti supradicti" (witnessed by "…femina ipsius comitis Iudeth…"), by charter dated to [1022/38] which also records a later donation by "Alanus comes et uxor illius Iudeth…et filiæ suæ Hodiernæ abbatissæ", witnessed by "Hoel…filius eiusdem comitis…Moruan vicecomes…"[34].
A charter dated 1029 records the property of Sainte-Croix de Quimperlé with the consent of "Alano comite…et conjugem eius Judith, Orscando episcopo fratre comitis…Guethenoc et Guerec fratribus comitis…"[35].
"Alano comite Chanarth…Cornubiam regente" founded the abbey of Sainte-Croix de Quimperlé by charter dated 1029[36].
"Alanus Britannice gentis dux atque princeps" founded the abbey of Saint-Georges de Rennes by charter dated to [1028/30], witnessed by "Eudo meus germanus, Gozolinus vicecomes, Rivallonis vicarius, Alanus Cornugallie comes…"[37].
The Chronicon Kemperlegiense records the death in 1058 of "Alanus Comes Cornugalliæ, Kemperlegiensis monasterii fundator et pater"[38].
A fragmentary chronicle in the cartulary of Sainte-Croix de Quimperlé records that "consul Alanus cognomento Cainard" died 30 years after building the abbey of Sainte-Croix at Quimperlé and was buried "in ecclesia Beate Virginis Marie que adjacent ecclesie Sancti Courentini"[39].
The necrology of Landévennec records the death “pridie Non Jun” of “Alanus Caignart Cornugalliæ comes frater noster”[40].
m ([1026]) JUDITH de Nantes, daughter of JUDICAËL Comte de Nantes & his wife Mélisende --- (-1063, bur Sainte-Guénolé de Landevenec).
The Chronicon Briocensi names "Judith…filia Juhelli quondam comitis Nannetensis" as wife of "Alani Cagnart" and mother of "Hoellus Dux"[41].
"Benedictus episcopus atque comes" founded the monastery of Locmaria de Quimper, later confirmed by >"Alanus comes filius Benedicti supradicti" (witnessed by "…femina ipsius comitis Iudeth…"), by charter dated to [1022/38] which also records a later donation by "Alanus comes et uxor illius Iudeth…et filiæ suæ Hodiernæ abbatissæ", witnessed by "Hoel…filius eiusdem comitis…Moruan vicecomes…"[42].
A charter dated 1029 records the property of Sainte-Croix de Quimperlé with the consent of "Alano comite…et conjugem eius Judith, Orscando episcopo fratre comitis…Guethenoc et Guerec fratribus comitis…"[43].
"Alanus comes nobilis Cornubensium partium" donated property to Landévennec by an undated charter, affirmed by "conjugis Iudett"[44].
An undated charter dated to [1031/55] records a donation to Sainte-Croix de Quimperlé by "Alano principe…uxor eiusdem consulis, religiosa domina et mater nostra Judith comitissa, filia…Judicaelis Nannetensium comitis", in the presence of "domini sui"[45].
The Chronicon Kemperlegiense records the death in 1063 of "Iudith Comitissa Cornugalliæ"[46].
The Chronicon Universum in the cartulary of Sainte-Croix de Quimperlé records the death in 1063 of "Judith comitissa Cornugallie"[47].
A fragmentary chronicle in the cartulary of Sainte-Croix de Quimperlé records that "comitissa Judith" lived for six years as a nun after her husband died and was buried "in ecclesia Sancti Guingualoei"[48].
Alain & his wife had seven children:
1. HOËL (-13 Apr 1084)....
2. ORGUEN [Agn%C3%A8s] de Cornouaïlle...
3. BUDIC (-1091)....
4. QUIRIAC de Cornouaïlle (-[1076/78])...
5. BENEDICT de Cornouaïlle (-2 Jan [1115])....
6. daughter...
7. HODIERNE...
Wikipédia français (20 fév 2022) "Alain Canhiart"
Décès 1058
Conjoint: Judith de Nantes
Enfants
- Hoël II de Bretagne
- Guérech II de Cornouaille
- Benoît de Cornouaille
Alain Canhiart, (né vers 1000 - † 1058), fils de Benoît de Cornouaille et père d'Hoël II, fut comte de Cornouaille de 1020 à 1058. Son surnom « Canhiart » issu du vieux breton Kann Yac'h (Combattant plein de vigueur, sain) est traduit dans les documents en latin par « Bellator fortis » il est vraisemblablement lié à son ardeur au combat1.
Origine et famille
Selon Pierre Le Baud Alain Canhiart est un descendant de « Rivallon Mur Marzou » et il appartient donc à la « ligne masculine des rois de Bretagne » 2.
Alain Canhiart est plus certainement issu de la lignée de vicomtes puis comtes qui depuis le milieu du xe siècle ont imposé leur pouvoir héréditaire sur la Cornouaille. Il est le fils de Benoît ou Benedic († entre 1008 et 1019), comte et évêque de Cornouaille, puisqu'il a été élu au siège épiscopal de Quimper après 990 dans des circonstances inconnues et qu'il exerce les deux fonctions de Comte et d’Évêque3. Sa mère Guigoëdon ou Guiguoedon est la fille d’Orscand le Grand évêque de Vannes4 qui appartient à la famille du roi Alain de Bretagne dont Alain Canhiart porte d’ailleurs le nom qui n’appartient pas au stock onomastique de la famille de Cornouaille5.
Comte de Cornouaille
Alain accède au comté vers 1020 par renonciation de son père qui se démettra peu après en 1022 de son évêché en faveur de son second fils Orscand. Les relations entre les deux frères et leurs épouses respectives seront parfois tendues mais Alain gardera toujours la prééminence sur son frère l’évêque.
Une brouille l’oppose à son suzerain Alain III de Bretagne qui reproche au comte d’avoir soutenu des rebelles et le duc confisque des territoires appartenant à Alain dont l’île de Guadel (Belle-Île-en-Mer). Alain Canhiart rentre en grâce rapidement après avoir facilité le mariage de son suzerain en enlevant, selon la tradition, pour son compte Berthe de Blois, la fille du comte Eudes il recouvre l’île confisquée précédemment qui « avait appartenu à la dot de sa mère Guinoedon »6.
Alain Canhiart épouse vers 1026 Judith fille de Judicaël de Nantes et héritière de ce comté. Entre autres dons de mariage il lui cède, les noces ayant été célébrées suivant la coutume, cinq hameaux en Quistillic et la moitié de l'église de Cluthgual, avec la dîme, la sépulture et tous ses droits7
L'accroissement potentiel de sa puissance lié à son union semble avoir attiré l’attention du duc Alain III de Bretagne Une armée ducale entre en Cornouaille mais elle est repoussée en 1031 près de Locronan grâce à l’intervention de Saint Ronan selon la tradition. Après une seconde réconciliation avec Alain III de Bretagne Alain Canhiart doit faire face à l’indiscipline de ses propres vassaux les Léonais avec à leur tête Guyomarch Ier de Léon vicomte de Léon qui s’est soulevé avec « des tyrans » de sa région puis Morvan vicomte du Faou. Le comte s’impose rapidement aux révoltés.
À la suite sa guérison d’une grave maladie, Alain Canhiart fonde selon la tradition vers 1029 l’Abbaye Sainte-Croix de Quimperlé avec à ses côtés son frère l’évêque Orscand et il en confie la direction à Gurloës. Il attribue à sa fondation Belle-Île8
En 1050 après la mort de Mathias Ier de Nantes, Alain Canhiart fait valoir les droits de son épouse contre Conan II de Bretagne et prend en charge en 1054 le comté de Nantes pour le compte de son fils et héritier Hoël.
Le comte meurt en 1058 et il est inhumé à l'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé selon son obituaire. Jacques Cambry, dans son catalogue des objets échappés au vandalisme dans le Finistère, nous apprend que son tombeau fut détruit pendant la Révolution. Il y était représenté en costume de son temps, avec sa courte épée, son bouclier, ses armes.
Union et descendance
Vers 1026, il épouse Judith, héritière du comté de Nantes, qui revient à celle-ci à la mort de son neveu, le comte Mathias Ier de Nantes.
Le couple a au moins six enfants dont quatre garçons 9:
- Hoël, comte de Nantes, de Cornouaille, duc de Bretagne
- Guérech (ou Quiriac) (1030 - 1078), évêque élu de Nantes en 1059, consacré le 7 janvier 1061 ;
- Budic, mort en 1091 ;
- Hodiern, abbesse de Locmaria de Quimper ;
- Benoît, abbé de l'Abbaye Sainte-Croix de Quimperlé en 1066, évêque élu de Nantes en 1079, consacré en 1081, se retire en 1114 et meurt en 1115 ;
- Orguen/Agnès, épouse d'Éon Ier de Penthièvre.
Notes et références
- Au moins cinq rues en Bretagne portent son nom, d'après Les noms qui ont fait l'histoire de Bretagne, 1997
- Cronicques et Ystoires des Bretons Société des bibliophiles Bretons 1911. Livre III chapitre 90 p. 21-22
- Joëlle Quaghebeur, La Cornouaille du IXe siècle au XIIe siècle, Mémoire, pouvoirs, noblesse, Presses Universitaires Rennaises, 2002, (ISBN 2-86847-743-7) p. 114-116
- Ce dernier comme son fils Rudald, sans doute issus d'Alain Ier de Bretagne est un grand féodal qui contrôle de facto le vannetais à la fin du xe siècle
- Joëlle Quaghbeur op.cit p. 120-121
- Cartulaire de l'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé p. 102
- Joseph Loth L'émigration Bretonne en Armorique Slatkine Reprints. Paris-Genève 1980 (ISBN 2051001022) p. 224 & note n°4.
- Joëlle Quaghbeur op.cit p. 127 estime que l'abbaye a été fondée « avant 1050 ».
- Il est significatif que les deux aînés portent, comme le comte d'ailleurs, des noms liés à la lignée d'Alain Ier de Bretagne, jugée plus prestigieuse. Les noms traditionnels à la maison de Cornouaille « Budic » et « Benoît » sont réservés aux cadets
Bibliographie
- Joëlle Quaghebeur, La Cornouaille du IXe siècle au XIIe siècle, Mémoire, pouvoirs, noblesse, Presses Universitaires Rennaises, 2002, (ISBN 2-86847-743-7)
- Les noms qui ont fait l'histoire de Bretagne, Coop Breizh et Institut culturel de Bretagne, 1997.
- André Chédeville & Noël-Yves Tonnerre La Bretagne féodale XIe-XIIIe siècle. Ouest-France Université Rennes (1987) (ISBN 9782737300141).
Wikipedia (2 Nov 2021) "Alain Canhiart"
Alain Canhiart (died 1058) was the count of Cornouaille from 1020 to 1058. He was the son of Benoît de Cornouaille and the father of Hoël II, Duke of Brittany. His family name, Canhiart, is understood to be derived from the old Breton Kann Yac'h[a] and was translated into the Latin texts of his era as Bellator fortis.
Life
According to Paul Le Baud, Alain was a descendant of Rivallon Mur Marzou and therefore was a male-line descendant of the early kings of Brittany.[1] As Count of Cornouaille he inherited his regnal rights from the family that appears to have ruled the Cornouaille region of Brittany from about the 10th century.[b] His father Benoît (or Benedict) died between 1008 and 1029. He was the Count-Bishop of Cornouaille; he had been elected Bishop of Quimper around 990 and exercised the offices jointly but kept them separated.[c] His mother was Guigoëdon (or Guiguoedon); she was the daughter of Orscand le Grand, the Bishop of Vannes.[d] She was a member of the family of Alan I, King of Brittany.[e]
Alain became Count of Cornouaille around 1020 when his father renounced this title. Alain's brother Orscand succeeded their father as Bishop of Cornouaille.
At one point Alain supported rebels who opposed Alan III, Duke of Brittany. Alan III prevailed and punished Count Alain by confiscating his territories, in particular Belle-Île-en-Mer. Alain returned to the duke's good graces by facilitating his marriage to Berthe of Blois, the daughter of Count Odo; the duke allowed Alain to recover the property that had been seized that belonged to the dowry of Alain's mother.
Alain married Judith of Nantes and through her gained a claim on the County of Nantes. In part as a result of his rising power, he was attacked by Alan III but was able to push back the duke's army in 1031 in a battle near Locronan. In this battle Alain was assisted by Saint Ronan. Alan III and Alain were again reconciled.
After this second battle with the Duke of Brittany, Alain faced difficulties with his vassals in the Viscounty of Leon, most notably Guyomarch I. Guyomarch I allied with Morvan, Viscount of Faou, to oppose Alain. Alain was successful in putting down these revolts.
Around 1029, after a serious illness, Alain founded the Abbey of Sainte-Croix of Quimperlé with the assistance of his brother Orscand, the bishop. He included Belle-Île in his donation to the abbey.
In 1050, at the death of his wife's nephew, Matthew (Mathias) I of Nantes, Alain confirmed her inheritance and his rights to rule Nantes as regent for his son Hoel, the eventual Count of Nantes.
Family
Around 1026, Alain married Judith of Nantes, the daughter of Judicaël of Nantes, who became the heir to the County of Nantes after the death of her nephew, Matthew, in 1050. As was the custom of the period, under the dowry arrangements Alain obtained five villages in Quistillic and half of the church of Cluthgual with the sepulchre and all appertaining rights.[2][f]
Alain and Judith had six children
- Hoël II – Count of Nantes, Count of Rennes, and eventually Duke of Brittany (jure uxoris)
- Guérech (Quiriac) (1030–1079) – elected Bishop of Nantes in 1059, consecrated 7 January 1061
- Budic – died 1091
- Hodiern – Abbess of Locmaria de Quimper
- Benoît – Abbot of the Abbey of Sainte-Croix de Quimperlé in 1066, elected Bishop of Nantes in 1079, consecrated in 1081; retired in 1114 and murdered in 1115
- Orguen, or Agnes – wife of Odo I, Count of Penthièvre
Death and succession
Alain died in 1058. He was buried at Quimperlé. His tomb was destroyed during the French Revolution.[g]
He was succeeded as Count of Cornouaille by his son Hoël.
Notes
1. translated from breton, vigorous combatant
2. This Cornouaille region of Brittany is geographically distinct from the Cornwall region of England.
3. Benoît held the joint title Count-Bishop, or Lord-Bishop during the era when Bishops were also lords and before the Roman Catholic church forced the separation of secular from ecclesiastical titles, rights and powers.
4. In this era the Roman Catholic church had not yet imposed mandatory celibacy on its prelates, and bishops and priests alike frequently were married and had issue.
5. Orscand had de facto control of the Vannetais region of Brittany at the end of the 10th century.
6. Judith inherited Nantes from her nephew Mathias I of Nantes.
7. Jacques Cambry states that his tomb contained an effigy along the traditions of the period representing Alain with a short sword, a shield and his arms.
References
Citations
1. Croniques et Ystoires des Bretons book III, p. 21-22, Chapter 90.
2. Loth 1980, p. 224.
Bibliography
Cronicques et Ystoires des Bretons. Book III (in French). Société des bibliophiles Bretons. 1911.
Loth, Joseph (1980). L'émigration Bretonne en Armorique (in French). Paris-Genève: Slatkine Reprints. ISBN 2051001022.
--------------------------------------
Alain Cangnard, comte de Cornoüaille, married Judith de Nantes, daughter of Judicaël, comte de Nantes and UNKNOWN du Maine, before 1005.
Alain was Prince of Cornouaille in Brittany, France. He was the successor of Budig Castellin, Prince of Cornouaille; Prince of Cornouaille, his grandfather.
Alain died in 1026 at the age of 51.
See "My Lines"
( http://homepages.rootsweb.ancestry.com/~cousin/html/p336.htm#i8424 )
from Compiler: R. B. Stewart, Evans, GA
( http://homepages.rootsweb.ancestry.com/~cousin/html/index.htm )
Spouse: Judith DE NANTES
Children:
1. Emma DE BRETAGNE+
2. Agnes DE CORNOUAILLE+
3. Hoël V DE CORNOUAILLE Duke of Brittany+
Alain "Canhiart" de Cornouaille, Comte de Cornouaille & Nantes's Timeline
1000 |
1000
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Cornouaille, Duché de Bretagne (Brittany), France
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1015 |
1015
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Cornouaille, Ille-et-Vilaine, Bretagne, France
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1030 |
1030
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Cornouaile, Visseiche, Ille-et-Vilaine, Bretagne, France
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1035 |
1035
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France
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1058 |
April 13, 1058
Age 58
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Cornouaille, Duché de Bretagne, France
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April 13, 1058
Age 58
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Cathédrale Saint-Corentin de Quimper, Quimperlé, Duché de Bretagne, France
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